9 Décembre 2011
Synopsis : Le Muséum d’histoire
naturelle de New York prépare une grande exposition sur les croyances mystiques des peuples primitifs. Mais une série de meurtres sauvages sème la panique… D’où vient cette présence mystérieuse
qui semble hanter les recoins du musée ? C’est ce que Aloysius Pendergast, expert du FBI, est bien décidé à découvrir. La réponse pourrait-elle se trouver dans les sous-sols, là où ont été
oubliées ces mystérieuses caisses, derniers vestiges d’une expédition en Amazonie dont personne n’est revenu ?
Mon avis : depuis le temps que je voulais lire le livre des toutes 1ères aventures de ce cher inspecteur Pendergast. Je suis une grande grande fan de ses aventures et c’est donc avec joie que j’ai enfin pû trouver ce 1er opus en réédition.
L’aventure commence sur des chapeaux de roues : 2 enfants disparaissent dans le plus grand musée du monde…au bout d’un couloir, ils trouvent la mort… leurs dépouilles sont en lambeaux et il manque un petit bout de cerveau, l’intrigue est lancée.
La police enquête frénétiquement afin d’assurer l’ouverture de l’exposition « Superstition » qui est consacrée aux croyances les plus noires de l’humanité et à leurs pratiques.
Un autre corps est rapidement retrouvé et enfin rentre en ligne de mire le Lieutenant d’Agosta et Pendergast. L'enquête évolue sur fond de conspiration des grands maitres du musée. Le silence est de mise.
Rapidement, ils craignent que le criminel soit un animal ou une bête. L’exposition doit être reporté mais malheureusement personne ne les écoutent.
Le livre est habilement coupé en 3 parties bien distinctes :
Muséum d’histoire naturelle : les auteurs plantent le décor, les personnages, l’intrigue… tout est décadence et cadavres mutilés.
L’exposition Superstitions : c’est la partie la plus longuette, même si intéressante. Il y a des passages répétitifs et des descriptions un peu trop pointilleuses notamment sur des explications scientifiques mais ça reste à la portée de tous.
« Celui qui marche à quatre pattes » : enfin le dénouement sur un fond d’apocalypse. On découvre la bête du musée et son intelligence, sa traque et surtout un dénouement inattendu.
Même si certains passages m’ont semblé un peu long, je l’ai dévoré… je ne suis pourtant pas fan des histoires de monstres venues des forêts amazoniennes. Le duo Preston & Child fonctionne encore une fois très bien et malgré une lecture pas dans l’ordre je suis accro !
Pour ceux qui ne les connaissent pas encore, voici un sens de lecture : Relic, Le grenier des enfers, La chambre des curiosités, les croassements de la nuit, le violon du diable, danse de mort, le livre des trépassés, croisière maudite et valse macabre.