25 Mai 2012
Synopsis :Automne 2005. Marion doit fuir Paris dans l'urgence. Il y va de sa vie. Des hommes de la DST la déposent au
Mont-Saint-Michel, où l'accueille une communauté religieuse.
Très vite, Marion se sent espionnée
Mars 1928. Au Caire, des enfants disparaissent en pleine nuit, on retrouve leurs corps meurtris dans les nécropoles
environnantes.
Une rumeur se propage : le monstre des Mille et Une Nuits, la terrible Goule, serait de retour.
Le détective Matheson n'y croit pas
Deux intrigues sans rapport apparent, et pourtant liées de manière inextricable. Entre un Nom de la rose moderne et un Seven
historique, un thriller envoûtant, avec un dénouement où vous vous trouverez impliqués malgré vous !
Mon avis : voilà mon 1er livre de Chattam et je pense que ce sera le dernier pour un petit moment...
Ce livre n'est pas un achat de mon fait mais un livre que ma maman m'a refilé en me disant : lis le et tu me dis ce que tu en penses !! Maman si tu lis cet article, tu peux t'en passer :)
Voilà clairement une excellente idée mais très très mal exploitée.
Le pitch est simple : deux histoires séparées de plusieurs années qui se croisent et se rejoignent à la fin.
La 1ère partie se tient de nos jours au Mont Saint Michel, mais un Mont qui se doit d'être mystérieux et fantomatique et qui au final m'a donné envie de jetter le livre au travers de ma chambre à coucher ou de m'endormir. Point besoin de somnifère, vous pouvez me croire.
Et puis la seconde partie qui se déroule au Caire au tout début du siècle. C'est la partie que j'ai préféré dans tout ce désastre même si je pense qu'elle est définitivement mal exploitée.
J'aurais aimé qu'elle soit plus intense, avec pourquoi pas des extraits du journal plus cash, pourquoi pas juste des extraits comme cela se fait dans de nombreux livres...
J'ai beaucoup aimé (oui quand même) le personnage de Matheson et l'idée de la Goule est quand même pas mal du tout mais encore une fois mal exploitée..
Bref... Maman, je ne te remercie pas et tu peux te passer de ce livre :)
Pour ma part, j'invite humblement Monsieur Chattam a revoir sa copie !