26 Février 2011
Synopsis : Le 26 avril 2003, Aron Ralston, jeune homme de vingt-sept ans, se met
en route pour une randonnée dans les gorges de l’Utah.
Il est seul et n’a prévenu personne de son excursion. Alpiniste expérimenté, il collectionne les plus beaux sommets de la région.
Pourtant, au fin fond d’un canyon reculé, l’impensable survient : au-dessus de lui un rocher se détache et emprisonne son bras dans le mur de rocaille. Le voilà pris au piège, menacé de
déshydratation et d’hypothermie, en proie à des hallucinations…
Il parle à son ex petite amie, sa famille, et se demande si les deux filles qu’il a rencontrées dans le canyon juste avant son accident seront les dernières.
Cinq jours plus tard, comprenant que les secours n’arriveront pas, il va devoir prendre la plus grave décision de son existence...
Mon avis : quand un film de
Danny Boyle sort c’est un peu comme un ovni dans le cinéma, je m’attends à tout et je m’attends surtout à être scotchée dans mon fauteuil… peut-être que cette fois ci j’en attendais
trop ?!
Ce film
c’est un peu la descente aux enfers d’Aron Ralston, sauf que son enfer à lui c’est un canyon dans les gorges de l’Utah. A la limite de « Into the Wild » pour les paysages et de
« Burried » pour le côté enfermement, 127 heures sait nous tenir en haleine, malgré le peu de personnages et le peu d’espace.
La 1ère partie du film, nous fait découvrir un jeune homme
drôle, qui aime la vie et le risque, les grands espaces et surtout qui aime par-dessus tout sa liberté. On s’attache très vite à ce personnage.
La tension est présente tout au long du film et comme tout le monde je
crois, je connaissais l’histoire avant d’aller le voir, du coup j’attendais encore et encore ce fameux rocher qui tombe sur lui et qui le retient par le bras dans sa
crevasse…
La seconde partie est bien sûr plus
triste et sanglante mais au final pas tant que ça (j’ai longtemps hésité à aller le voir ou pas, de peur d’être dégoutée et au final, franchement ça va, les images sont
regardables).
Je l’ai vu en VO et je pense que ça
rajoute de la richesse à ce film. On souffre avec lui, on se voit mourir avec lui et enfin on se demande si nous aurions fais le même choix (se couper le bras) plutôt que de se laisser mourir…
quel courage, vraiment je pense que je n’en aurais pas été capable.
Cependant, j’ai regretté certaines langueurs, notamment dans ses
flashbacks mais qui sont globalement rattrapés par le côté aventure.
James Franco est épatant de vérité, il maitrise parfaitement son rôle.
J’espère d’ailleurs que ce rôle va lui valoir d’être enfin estimé.
Pour ma part, c’est un film à voir, au moins une fois mais je pense que
toute la pub qui a été faite autour a un peu cassé la surprise de l’acte… mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dis : il mérite largement son Oscar
dimanche :op
Ce film est une belle leçon
d’espoir, à la fois une expérience humaine et inhumaine surtout lorsque l’on sait dès le départ que c’est une histoire vraie.
Synopsis : 1er janvier 1993 : passage à l’Europe. Deux douaniers, l’un belge, l’autre français, apprennent la
disparition prochaine de leur poste frontière situé dans la commune de Courquain France et Koorkin Belgique.
Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandevoorde (Benoît Poelvoorde) se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge.
Son collègue français, Mathias Ducatel (Dany Boon), considéré par Ruben comme son ennemi de toujours, est secrètement amoureux de sa soeur. Il surprend tout le monde en acceptant de devenir le
co-équipier de Vandevoorde et sillonner avec lui les routes de campagnes frontalières à bord d’une 4L d’interception des douanes internationales.
Mon avis : et voilà comment ce genre de films me fait dire que décidément nous ne sommes pas très doués
pour faire du cinéma et à mon grand désarroi... oh bien sûr loin de moi l'idée de dire que nous ne faisons que des navets mais là quand même on atteind des sommets !!!!
Bienvenue chez les chtits m'avait bien fait rire... enfin pas de là à me faire des crampes mais bon... et là dès les premières minutes c'est le
drame ... Poelvoorde me sort par les yeux, Boon est un gentil nigaud, François Damien est affligeant autant par son jeu que pour son rôle, bref... que dire !!!
L'humour est plus que "beauf" et hormis le passage avec la 4L tunning qui m'a fait doucement sourire mais uniquement à cause de ma vie perso, je n'ai rien trouvé de marrant.
L'histoire est plate, on voit arriver la fin a des kms à la ronde et franchement peut on réellement croire à une telle rivalité entre les belges et les français, c'est pathétique !
Au final, ce film a été extrêmement médiatisé mais plus à cause du réalisateur prestigieux (Dany Boon lol) que grâce à sa valeur.
Passez votre chemin, il n'y a rien à voir...